



notes de tête La note la plus haute de la pyramide olfactive. Il s'agit de la note que l'on sent juste après la vaporisation du parfum. Elle est généralement vive et donne la première impression olfactive. La durée de vie de cette note est courte. | palissandre bois de rose, lavande, cannelle, pomme |
notes de cœur Cette note prend vie après quelques minutes, quand la note de tête s’atténue. Elle se développe pendant 2-3 heures et constitue l'odeur caractéristique du parfum. | rose, cèdre, muguet |
notes de fond Cette note forme le socle de la pyramide olfactive. Elle est très tenace, elle tient 4 heures environ, parfois des jours entiers. | bois d'agar, bois de santal, vanille, ambre, musc |
Type de parfum | épicé, boisé, gourmand |
Laissez-vous emporter dans un autre monde. Infusée d’histoire et de culture, l’eau de parfum unisexe Alexandria II de Xerjoff vous transporte dans la capitale millénaire. Sa base chaleureuse marie le précieux oud du Laos avec la douceur du bois de santal et les tons poudrés d’ambre.
- parfum boisé aux notes d’ambre
- présenté en 2012
- créé par le parfumeur Chris Maurice
Composition du parfum :
La composition s’ouvre sur des effluves fruités de pomme se mêlant aux notes florales de lavande et aux accords boisés et végétaux de bois de rose. Peu à peu, son cœur éminemment oriental se dévoile, composé de douceur de bois de cèdre, de muguet enivrant mais toujours délicat, de délicate rose bulgare aux notes fruitées. La composition s’achève sur le bois de santal sucré qui se mêle subtilement à la sensualité du musc moelleux, à l’arôme intense d’oud du Laos, aux notes poudrées d’ambre et aux tons délicatement épicés de vanille.
Histoire du parfum :
L’eau de parfum Alexandria II de la maison italienne Xerjoff fait partie de la collection The Oud Stars by Xerjoff caractérisée par une présence marquante de oud, ingrédient des plus précieux dans l’univers de la parfumerie. Les différents parfums s’inspirent des procédés traditionnels de la parfumerie arabe, mais aussi des voyages d’Ibn Battûta : ils portent les noms des villes que cet explorateur avait visitées, puis décrites dans son œuvre.